
Le projet d’amélioration de la qualité de l’eau fournie aux populations de Kaolack est sur la bonne voie. La confirmation a été faite Vendredi 31 Janvier par le secrétaire général de “Sen Eau” Richard Kempé lors de la journée dédiée à cette société, à l’occasion de cette 9ème édition de la Foire internationale de Kaolack (Fika). Ce projet consiste à connecter Kaolack à la nappe souterraine de Malème Hoddar pour ensuite transférer l’eau jusqu’ aux périmètres de cette ville distante de plus de 100 kms. Pour le secrétaire général de ” Sen Eau”, ce projet est l’une des priorités phares qui est déjà prise en charge au plus haut au sommet de l’État et auquel ” Sen Eau” travaille en étroite collaboration avec la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones) pour non seulement régler définitivement cette question au niveau de Kaolack mais dans l’ensemble des communes de Gossas, Guinguinéo et Fatick. C’est en effet un projet qui a surtout donné l’opportunité au représentant de la direction générale de “Sen Eau” de revenir sur la politique de la société en matière de responsabilité sociétale d’entreprise (Rse). Déjà, à son arrivée sur la scène de la gouvernance de l’eau au Sénégal, il y a cinq (5) ans, “Sen Eau” a misé sur le développement du capital humain en particulier les femmes et les jeunes qui, de l’avis de ses dirigeants, demeurent les segments les plus vulnérables de la société et qui ont aussi le plus besoin d’accompagnement et de soutien. Dans ce registre, la société a, dès son arrivée, ouvert une école des plombiers/canalisateurs à Diamniadio. Cette école accueille les jeunes d’une tranche incluse entre 15 et 20 ans. Ils sont soutenus pendant les trois (3) ans de formation par la société et une fois leurs études terminées, ils sont directement embauchés ou s’ils le veulent, prendre en mains leur propre destinée professionnelle. Dans le choix aussi, ” Sen Eau” insiste beaucoup sur les jeunes qui viennent des autres régions du pays pour qu’ils puissent à l’issue de leurs formations avoir l’opportunité de retourner chez eux et travailler pour la société.
ABDOULAYE FALL










