Slogan contre la 3e candidature de Macky Sall : la Cojer reprend le mouvement y’en a marre

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Avec le lancement de son slogan « boul ko sakh jem », il ne faut pas essayer, le mouvement Y’en a marre met en garde le président Macky Sall contre toute idée d’une troisième candidature. Un slogan qui n’est pas passé inaperçu pour la convergence des jeunes républicaine. Le Cojer pour sa part, lui réplique en disant « boul ko sakh khalat », il ne faut pas que Y’en a marre y pense. D’après ces jeunes républicaines « si la question de la troisième candidature du Président Macky Sall se posait, elle ne peut être réglée que par le Droit et les urnes comme en 2012 mais ni par les menaces, les invectives ou le chantage ».

La convergence des jeunes républicaines n’a pas attendu longtemps pour répondre au mouvement Y’en a marre qui s’est prononcé sur la troisième candidature par le lancement d’un slogan « boul ko sakh jem » signifiant il ne faut pas essayer. Répondant à ces derniers, la Cojer dit « Boul ko sakh Khalat ». Il ne faut même pas que Yen a marre y pense ». Pour la jeunesse républicaine « penser que par la peur et l’intimidation, il peut imposer au Sénégal son opinion et sa volonté, est puéril ».

Le Sénégal étant une très grande démocratie, Moussa Sow et Cie rappellent que « si la question de la troisième candidature du Président Macky Sall se posait, elle ne peut être réglée que par le Droit et les urnes comme en 2012 mais ni par les menaces, les invectives ou le chantage. »

Quid du mouvement en question qui disent-ils, avait promis le NTS (nouveau type de sénégalais.  Les jeunesses de l’APR de dire « ce nouveau type de Sénégalais version Y’en a marre est l’antithèse de la vertu et du travail car vivant de deals (trafic de passeports) et de « soutien mercenaire » aussi bien au niveau national, qu’international. » Aussi renchérit-t-elle « ce nouveau type de sénégalais de Y en a marre est adepte de la culture du viol comme leur nouveau Gourou (Soupçon de viol sur Adji Sarr, viol du couvre-feu, viol du règlement intérieur de l’Assemblée Nationale, viol des arrêtés préfectoraux…) »

Et de soutenir: « le fondateur de Yen marre a fait tomber le masque et s’est reconverti dans la politique. Les autres qui étaient dans la musique où ils n’ont jamais brillé se sont reconvertis dans l’activisme mercenaire qui est plus rentable en attendant de faire tomber le masque comme Guy Marius Sagna ».

O G

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